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La croissance est certes ralentie, mais elle n’est pas immobilisée. Septembre et octobre seront sans doute les mois les plus volatiles.

Sous réserve d’un sans-faute en matière de politique monétaire, les taux resteront très bas, raison pour laquelle les perspectives à moyen terme sont favorables.

Les investisseurs attendent fébrilement le lancement de la stratégie du gouvernement britannique en matière d’obligations vertes.

Les goulets d'étranglement dans les chaînes logistiques nécessitent encore une surveillance étroite et les banques centrales afficheront une certaine retenue dans un futur proche.

Comme les six premiers mois, le deuxième semestre 2021 sera caractérisé par d’importantes liquidités et donc par un soutien des prix des valeurs patrimoniales.

Le monde entier continue d’être dans une phase de bas rendements sur le long terme, ce qui est principalement dû aux mesures des banques centrales.

La propagation actuelle de la variante delta du COVID-19 nous rappelle que la lutte contre la pandémie est loin d’être terminée.

Au cours des 18 derniers mois, les investisseurs ont bénéficié de rendements sans précédent. La performance annualisée du S&P 500 depuis mars 2020 est de 52%.

Dans le cas de courbes de rendement plus plates, en lien avec des rendements plus élevés, les conditions-cadre financières se durciraient nettement.

Le besoin de matières premières reste énorme. Ceci a des conséquences sur la manière dont les investisseurs gèrent leur portefeuille ESG.