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Face au ralentissement des hausses de prix, les banquiers centraux ont graduellement assoupli leurs discours sur l’inflation.

Certaines voix du marché spéculent sur des baisses de taux plus précoces que celles initialement prévues pour le second semestre 2024.

Compte tenu de la croissance économique morose et de l'inflation en demi-teinte, la BNS donnera probablement la priorité à l'intervention sur le marché des changes plutôt qu'à la hausse des taux d'intérêt.

Je n’avais pas tout à fait tort lorsque j’affirmais que 2023 serait l’année des emprunts obligataires.

Les principales banques centrales devraient privilégier le statu quo cette semaine. Le pétrole ne réagit guère au différend territorial entre le Venezuela et le Guyana. Moody’s abaisse à «négative» la perspective de la note de crédit de la Chine.

Certains investisseurs sous-estiment la quantité de diversification nécessaire. Les portefeuilles traditionnels 60-40, par exemple, ont enregistré un rendement négatif au cours de 21 années civiles depuis 1928.

Bien que l'on puisse s'attendre à quelques changements dans le communiqué, laissant entrevoir une baisse des taux des fonds fédéraux d'ici 2024 et 2025, il est sans doute trop tôt pour que la Fed change complètement de ton.

L’or est proche des plus hauts historiques. Quels sont les facteurs sous-jacents à l’appréciation du prix du metal jaune?

Graphique de la semaine de DWS. Il serait prématuré d'accorder trop d'importance au resserrement des corrélations après la pandémie, notamment en raison des baisses récentes.

Le marché baissier du pétrole et du gaz naturel, qui dure depuis plus d'une décennie, semble toucher à sa fin. Est-ce le début d’une ère favorable à l'investissement dans l'énergie?