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Au cours de ces derniers mois, la différenciation entre les économies a été très discrète en comparaison du choc commun auquel elles ont toutes été confrontées.

Malgré cette «fatigue généralisée», la Grande accélération déclenchée par la pandémie ne ralentit pas.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que nous tous, investisseurs ou contribuables, nous demandons comment nous passerons le mur de dettes qui se présente devant nous.

L’année n’est de loin pas mauvaise en termes de performance pour un portefeuille diversifié.

«La crise du Covid-19 a créée de nouvelles opportunités d’achat», explique Leslie Leigh de Lombard Odier Investment Managers.

Dans le contexte actuel, faut-il s'attendre à une hausse de l'inflation en raison de l’accroissement de la dette publique?

S’il est une certitude, c’est que les investisseurs obligataires vont devoir faire preuve d’une longue patience pour engranger des rendements.

L'objectif d’un gestionnaire est de limiter la tracking error, mesure de la cohérence du rendement excédentaire d'un fonds par rapport à son indice.

Le COVID-19 continue de se propager et les économies rouvrent progressivement. Avec quels effets?

Entré dans la pire récession de son histoire, le secteur aérien devra encore résoudre ses enjeux environnementaux.