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Les marchés des actions conservent un potentiel de hausse pour cette année, mais il sera limité par l’incroyable fin de 2020.

Le changement climatique restera une préoccupation majeure des gouvernements et des investisseurs privés.

Le tandem Biden/Harris ne pourra pas mettre en application son programme en totalité pour plusieurs raisons.

Après un début d’année hésitant, les marchés obligataires émergents semblent être en bonne voie pour enregistrer des performances positives en 2020.

L'écart de rendement de ces titres avec ceux des pays développés s’est accru, à la faveur d’un environnement de taux très faibles.

Une politique monétaire souple et une forte relance budgétaire au niveau mondial devraient être très favorables aux pays émergents et aux marchés des matières premières.

Après le «quoiqu’il en coûte» unanime de 2020, les réalités budgétaires vont se rappeler au bon souvenir des autorités fiscales. Surtout en Europe.

Les tendances séculaires et de long terme pointent sur la numérisation, les paiements internationaux et les énergies renouvelables.

Avec la pandémie, beaucoup ont pensé que les considérations ESG seraient reléguées au second plan. Les flux financiers disent tout autre chose.

Lentement mais sûrement, nous évoluons vers un monde neutre en carbone.