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Paris a reculé de 0,33% à son plus bas niveau de clôture depuis fin mars. Londres a cédé 0,74% et Milan 0,44%. A Zurich, le SMI a abandonné 0,51%. Francfort a lâché 0,31% sur fond de récession allemande.

Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau estime que le taux terminal, à savoir le point haut, serait atteint «d’ici l’été, qui commence en juin et se termine en septembre».

L’agence de notation Fitch voit d’un mauvais œil les «tensions politiques qui entravent» les négociations, mais assure quand même «s’attendre à une résolution dans les temps».

«Notre priorité immédiate et absolue est d’assurer un retour au plus tôt de l’inflation vers notre objectif», et «nous y parviendrons», a assuré la présidente Christine Lagarde.

Les participants à la dernière réunion de la Réserve fédérale avaient évoqué une «inflation toujours très supérieure à l’objectif de long terme de 2% et une inflation sous-jacente qui ne montre que quelques signes de modération».

Les bourses du Vieux Continent ont connu leur pire séance depuis le 15 mars, lorsque la panique autour du secteur bancaire avait fait trembler les marchés.

Paris recule de 1,33%, lestée par les valeurs du luxe, Milan de 0,50%, Francfort de 0,44% et Londres de 0,10%. A Zurich, le SMI lâche 0,59%.

Paris a reculé de 0,18%, Francfort de 0,32%, Milan de 0,76%, tandis que Londres a progressé de 0,18%. A Zurich, le SMI a cédé 0,15%.

La Bourse de Paris a fini proche de l’équilibre, reculant de 0,09%, tout comme Milan (-0,01%). Londres a cédé 0,36%, tandis que Francfort a gagné 0,34%. A Zurich, le SMI a cédé 0,71%.

Londres recule de 0,34%, Milan de 0,17%, Paris de 0,16% et Francfort de 0,12%. A Zurich, le SMI cède 0,50%.