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Fin mai, le tribunal de commerce international des Etats-Unis (ITC) avait estimé que le président Donald Trump avait outrepassé ses pouvoirs en imposant des surtaxes non ciblées, soulignant qu’il s’agit d’une prérogative du Congrès.

Grâce aux négociations entre la Finma et la SEC, les sociétés suisses peuvent à nouveau déposer des demandes d’exercer auprès du gendarme des marchés financiers américains.

Ce nouveau cycle d’échanges est scruté attentivement par les marchés, qui espèrent des progrès aussi significatifs que lors des négociations suisses.

Le mois dernier, 139’000 emplois ont été créés, moins qu’en avril (147’000), mais plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (autour de 125’000).

Le président menace de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l’homme le plus riche du monde. Ce dernier suggère la nécessité de créer un nouveau parti politique aux Etats-Unis.

Le président américain assure qu’il a mis fin à la mission budgétaire d’Elon Musk, selon lui «devenu fou» à cause d’une décision défavorable aux véhicules électriques. Le patron de Tesla affirme que «Trump aurait perdu l’élection» sans lui».

Les deux pays sont ajoutés à la liste des nations ayant un excédent de compte courant avec les Etats-Unis jugé excessif par Washington.

La balance des échanges est sous l’effet d’un fort ralentissement des importations alors que les droits de douane voulus par Donald Trump sont entrés en vigueur.

Même si les républicains sont majoritaires - de peu - au Sénat, rien ne garantit qu’ils parviendront à faire adopter cette loi budgétaire qui pourrait donner le ton du second mandat de Donald Trump.

«Toutes les régions ont mentionné que les niveaux d’incertitudes économique et politique étaient élevés, ce qui conduit les entreprises et les ménages à prendre des décisions de manière hésitante et prudente», rapporte l’enquête de la Réserve fédérale.