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Gazprom fait état d’une «fuite d’huile» sur des «câbles reliés à des compteurs de vitesse d’un rotor».

Francfort a rebondi 3,33%, celle de Milan de 2,91% au contraire de Paris (+2,21% vendredi) et Londres (+1,86%). Le a terminé la semaine en nette hausse de 2,14%.

Paris a perdu 1,37% et Londres 1,05%. Francfort a reculé de 0,97%. L’indice phare SMI de la Bourse suisse a lui cédé 0,27%. Sur le mois, Paris et Francfort reculent d’environ 5%.

Vers 14h40, le TTF néerlandais, référence du marché européen, cédait 3% à 248,995 euros le mégawattheure (MWh).

Les Bourses européennes ne sont pas parvenues à conserver leur rebond, à l’exception de Francfort (+0,53%)

Paris a perdu 0,83%, Francfort 0,61% et Milan 0,24%.

Le prix du gaz naturel européen s’est envolé vendredi à 342,005 euros le MWh, à peine en dessous de son sommet en séance enregistré en mars après l’invasion russe de l’Ukraine.

Francfort (-2,26%), Milan (-2,49%), Paris (-1,68%) et Londres (-0,70%) ont décroché en fin de séance, terminant en baisse sur l’ensemble de la semaine. A Zurich, le SMI a cédé 1,10%.

Les bourses du Vieux Continent terminent en petite hausse une séance mitigée, à l’exception de Paris qui clôture proche de l’équilibre (-0,08%).

Après être monté jusqu’à 324 euros le mégawattheure dans la journée, le contrat à terme du TTF néerlandais évoluait à 315,115 euros vers 17h45.