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Les indices ont fini en nette baisse, de 1,53% à Paris, de 1,71% à Francfort, de 2,40% à Milan et de 1,77% à Londres. Plus tôt ils ont perdu jusqu’à plus de 2%. A Zurich, le SMI a cédé 0,92%.

«Il y a deux fuites côté suédois et deux fuites côté danois», a déclaré à l’AFP un responsable de l’autorité suédoise.

Après des pertes allant jusqu’à 2%, les bourses se sont reprises. Londres clôture en hausse de 0,30%, Francfort de 0,36%, Paris de 0,19%, tandis que Milan cède 0,52%.

Le gazoduc Nord Stream 2 avait subi une forte chute de pression lundi, suivi quelques heures plus tard de Nord Stream 1, dont il suit le tracé sous la Baltique.

Après une grande partie de la séance en hausse qui laissait espérer un rebond sur la ligne d’arrivée, les indices ont fini dans le rouge à Paris (-0,27%), Francfort (-0,72%) et Londres (-0,52%). A Zurich en revanche, le SMI a gagné 0,53%.

Vers 13h30, le contrat à terme du TTF néerlandais grimpe d’environ 10% à 191,390 euros le mégawattheure (MWh).

Milan a connu la plus forte hausse des places du continent: +0,67%. Paris recule de 0,24%, Francfort de 0,46% et Londres est restée stable (+0,03%). A Zurich, le SMI lâche 0,64%.

Tout laisse présager une récession en Europe et notamment en Allemagne. Reste à savoir quelle en sera l'ampleur.

Le marché est rassuré par les afflux abondants de GNL avant le début de l’hiver. Peu avant 13h00, le TTF néerlandais s’établissait à 171 euros le mégawattheure (MWh), soit un repli de 8%.

L’OCDE a nettement dégradé sa prévision de croissance mondiale l’an prochain devant les effets plus durables qu’anticipé de la guerre en Ukraine, l’Europe payant la plus grande facture.