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Les actions baissent légèrement en ce mois de décembre mais conservent des gains importants, à l’exception du marché Suisse, très largement impacté par la performance négative de Nestlé.

Les taux élevés ont fait grimper les coûts d’intérêt à leur plus haut niveau depuis 20 ans, précise la Banque mondiale.

L’élection de Donald Trump et la perspective pour Elon Musk de se voir attribuer un secrétariat d’Etat ont été vécus comme une mise sur orbite pour les actions américaines.

Le nouveau gouvernement français fait face à une situation explosive. Non pas politique mais économique avec un Etat présentant une dette colossale et un déficit hors de contrôle.

Confrontée à l’arrivée à échéance l’an prochain d’un emprunt de 300 millions d’euros, la firme zurichoise souhaite dans l’immédiat pouvoir émettre 22,7 millions de titres d’une valeur de 1,00 franc chacune, au prix d’émission unitaire de 5,00 francs.

L’entente avec un groupe de créanciers privés internationaux permettra au pays sous le feu russe depuis deux ans et demi d’économiser 11,4 milliards de dollars sur les trois prochaines années et 22,75 milliards d’ici 2033.

Basé sur une prévision de croissance du PIB de 1% en 2025, l'une des mesures avancées cherche à identifier le montant des économies nécessaires pour stabiliser la dette autour de 110% du PIB.

Selon le tout dernier Global Corporate Debt Index de Janus Henderson, la hausse des taux d'intérêt a réellement commencé à se faire sentir en 2023/24.

«La dégradation reflète notre projection que, contrairement à nos attentes précédentes, la dette publique française en proportion du PIB va augmenter en raison des déficits plus importants que prévus en 2023-2027», explique l’agence de notation.

Entré dans une procédure amiable de conciliation avec ses créanciers, cet ex-fleuron de la tech vise désormais «un accord global» pour restructurer sa dette «d’ici juillet».