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L’utilisation des capacités est importante et le niveau élevé d’incertitudes politiques risque de limiter les dépenses d’investissement.

Le bear market devrait rester endormi grâce à l’absence de resserrement des conditions monétaires et de crédit et à la solidité de l’emploi aux Etats-Unis.

La semaine dernière, les actions ont atteint un record, portées par l'optimisme grandissant d’un dénouement sur le front sino-US.

Le proverbe «Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise» décrit avec pertinence la nature non linéaire des dettes et des crises de l’endettement.

Les tarifs douaniers restent un sujet de prédilection de Donald Trump, même à l’approche de Noël, et ont donc une incidence sur le marché.

Alors que l’année touche à sa fin, force est de constater que les marchés financiers n’ont pas su résister à l’or brun des banques centrales.

Ou, si elle a lieu, ce ne sera pas dans la forme et selon le calendrier souhaités par le gouvernement.

Toutefois, les statistiques de la production industrielle et du marché du travail d’octobre étaient déformées par la grève chez General Motors.

En revanche, le pouvoir d’achat des ménages reste intact, ce qui est positif pour les perspectives économiques.

Frédérique Caron chez Mandarine souligne que les petites et moyennes valeurs européennes surperforment les indices généraux sur le long terme.