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La guerre des mots entre les États-Unis et la Chine va probablement se poursuivre, avec une nouvelle escalade dans les domaines non tarifaires.

Les indices boursiers refléteront la bonne réaction de ces pays à la crise du COVID.

Trump est sous pression et glisse dans les sondages. Le Sénat pourrait même basculer dans le camp démocrate, ouvrant la voie à une administration «full blue». Cela inquiète les marchés.

Le gigantisme des plans de soutien à l’économie et les interventions de banques centrales ont soutenu les marchés et permis un rebond important sur l’ensemble des actifs risqués

Il faut s’y résoudre: l’alternance entre décrue et reprise de l’épidémie, espoirs et déception n’en est probablement qu’à ses débuts…

Quelle que soit la réponse à cette question, elle ne sera pas sans conséquence pour les investisseurs.

Les banques centrales déversent des liquidités importantes mais le prix des actifs ne reflète pas la réalité économique.

Donald Trump ne pourra pas invoquer le dollar comme l’expression de son succès à avoir rendu à l’Amérique sa grandeur passée.

Le confinement limitant la propagation du coronavirus fait également des ravages sur les obligations d'entreprises.

Il est primordial de nommer des administrateurs qui se concentrent sur l’exposition aux risques climatiques.