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Plusieurs marchés – à l’instar des obligations d’entreprises – semblent encore bien valorisés, mais le durcissement des conditions de crédit et les doutes qui planent sur le secteur bancaire représentent une source d’inquiétude.

2023, ce n’est pas 2008. Mais la confiance dans les banques a été ébranlée et les investisseurs ont beaucoup perdu, tant dans le domaine des actions que des crédits.

Nous sommes cependant encore loin d’une crise financière, et il n’existe pas non plus de menace de déflation.

Les obligations redeviennent plus avantageuses: les stratégies à court terme restent donc tactiquement intéressantes.

Il serait présomptueux de croire que des variations aussi extrêmes puissent revenir rapidement à la normale, d’autant plus que la situation mondiale est extraordinairement incertaine.

«Nous pensons qu'il est essentiel de faire preuve de transparence et de rendre compte régulièrement de nos progrès et des défis auxquels nous pouvons être confrontés», explique Marco Morelli, Executive Chairman d’AXA IM.

Ils apporteront leurs expertises et leurs perspectives sur une variété de sujets tels que la macroéconomie, le changement climatique, la biodiversité ainsi que les ressources naturelles.

2023 pourrait être l'année du renouveau du marché obligataire. Les incertitudes restent élevées mais on observe des signes encourageants.

Si l’on veut que les actions rapportent quelque chose à long terme, il faut que les bénéfices des entreprises augmentent. Or, cela implique une économie en expansion.

Déborah Shire, Deputy Head d’AXA IM Alts, s’attend à ce que les investisseurs s’orientent vers des classes d’actifs plus défensives cette année.