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Face aux nouvelles exigences du GAFI, la Suisse devrait encore améliorer la transparence de ses sociétés.

Pour pouvoir croître en Suisse plutôt qu’à l’étranger, la gestion de fortune a besoin d’un accord avec l’Union européenne.

Les données des entreprises permettront d’établir des produits financiers plus proches de la réalité.

Trouveriez-vous normal de voir la formule du Coca-Cola livrée en pâture dans la presse?

Le trust n’a besoin en droit suisse que de nouvelles règles civiles, pas fiscales.

Le référendum annoncé par les syndicats est inutile, dangereux et infondé.

Les craintes des socialistes par rapport aux effets de la réforme de l’impôt anticipé sont infondées.

Les nouvelles règles sont surtout favorables aux grands pays développés, en quête de recettes fiscales.

La déduction des intérêts passifs privés devrait être limitée, mais pas celle des frais d’entretien.

La Suisse ne doit pas attendre d’aller mal pour faire de nouvelles propositions à l’Union européenne.