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L'inflation commence à diverger entre les pays et les secteurs. Une récession aux USA et une hausse du chômage finiront par déclencher un cycle de normalisation monétaire, mais pas avant quelques hausses supplémentaires.

Le premier semestre a donné lieu à un rendement positif pour la plupart des investisseurs. Les résultats semestriels à venir sont donc attendus avec impatience. La prudence est toutefois de mise en raison du vent contraire conjoncturel.

Les entreprises se réorganisent afin d’éviter des pénuries en cascade. Avec Nina Lagron de La Financière de l’Echiquier - LFDE.

Les objectifs affichés sont certes louables, mais bien souvent, il ne sort guère de ces grands sommets que des photographies de groupe et de vains serments.

Chronique blockchain. Le président de la Fed a déclaré que les cryptomonnaies sont là pour durer en tant que classe d'actifs, s’opposant directement à la vision prudente du président de la SEC.

Graphique de la semaine de GSAM. Les investisseurs ont injecté 800 milliards de dollars dans les marchés monétaires cette année.

Le choc d’activité a finalement été surmonté plus vite qu’attendu dans la périphérie.

Plus courte que la moyenne historique et avec une contraction économique plus faible -1,5 % environ – cette récession n’infligerait aucun dommage durable à l’économie américaine.

Leur portée reste toutefois limitée. Seules 23 des 4136 banques commerciales américaines y ont participé.

Selon le nouveau rapport de BNP Paribas WM et la SDA Bocconi School of Management, 50% du PIB de l’UE est généré par les entreprises familiales, qui représentent entre 40 et 50% des emplois du secteur privé européen.