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«En deux ans, nous allons multiplier la capacité de calcul dédiée à l’intelligence artificielle en Europe par dix», promet le CEO Jensen Huang au salon VivaTech à Paris.

L'entreprise investit dans la société Artificialy, dont elle deviendra également actionnaire et collabore sur le plan technologique avec Tinext, partenaire idéal pour l'hébergement sécurisé des données d'IA.

Une série nationale d'événements démarrera en septembre avec le soutien notamment de la Confédération, de l’EPFL, de Swiss Re et d’UBS.

Le géant informatique va booster ses centres de données genevois et zurichois sur le front du cloud et de l’IA.

Le bénéfice net trimestriel s’affiche à 18,8 milliards de dollars (+26%), et à 96 cents par action hors éléments exceptionnels, soit mieux que les 89 cents qu’indiquait le consensus de FactSet. Le titre grimpe de plus de 5%.

Les petits réacteurs modulaires (SMR) pourraient s’imposer comme solution mondiale aux besoins des centres de données.

«Le contrôle des exportations a donné aux entreprises locales l’état d’esprit, l’énergie et le soutien du gouvernement pour accélérer leur développement», a déclaré le patron de Nvidia, Jensen Huang.

L’optimisation des processus et la création de nouveaux services sont les motifs principaux de l'utilisation de l'IA, selon une étude de la Haute école de Lucerne.

En restant une société à but non lucratif, «nous pensons que cela nous permettra de continuer de réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante», a estimé lundi Sam Altman.

Un peu plus des trois quarts des répondants – des professionnels RH – estiment que l’impact de l’intelligence artificielle sera neutre ou favorable sur les emplois bancaires.