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Le retour en confinement des deux moteurs économiques de l'Eurozone risque de décaler la reprise au troisième trimestre, voire au-delà.

Les marchés devraient se préoccuper un peu moins de l’inflation et un peu plus des investissements publics.

Certains émergents comme la Chine et le Mexique paraissent attrayants sur le long terme.

Les indices ESG paient leur exposition aux valeurs de croissance et leur haute valorisation, mais restent stratégiques dans un portefeuille à long terme.

Le retour de l’interventionnisme d’Etat va amplifier le rebond de la demande de matières premières.

Un environnement de reflation avec des taux toujours bas continue de soutenir les actifs risqués.

Selon l’économiste de Credit Suisse Maxime Botteron, c’est moins un changement de politique qu’une réaction aux récents commentaires du Trésor américain.

Le leader dans la course à la numérisation de la monnaie est la petite banque centrale des Bahamas qui a déjà lancé son Sand Dollar.

Le système financier conventionnel est de plus en plus remis en question dans la perspective des objectifs de l’Agenda 2030.

La technologie est un secteur diversifié et le moteur de la hausse des rendements compte davantage que la hausse elle-même.