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Vers 10h50, la principale monnaie électronique chutait de 5,85% à 95’720 dollars. C’est nettement en dessous des 102’413 dollars atteints lundi et du plus haut historique à plus de 106’000 dollars enregistré mi-décembre.

Parmi les vingt pays de la zone euro, treize affichent des taux de possession de cryptomonnaies supérieurs à 10%, la Slovénie (15%) et la Grèce (14%) se distinguant.

Dans la nuit de dimanche à lundi, le bitcoin a établi un nouveau record à 106’533 dollars sur la plateforme de négoce bitstamp. Vers 07h45 lundi, elle valait encore 105’229 dollars.

La plus importante cryptomonnaie en termes de capitalisation était propulsée par l’annonce de la probable nomination de l’avocat républicain Paul Atkins à la tête de l’Autorité américaine de régulation des marchés financiers (SEC).

Pour l'avenir, State Street Global Advisors s'attend à ce que les baisses de taux et la résilience macroéconomique se poursuivent en 2025, et à ce que sa prévision de longue date d'un atterrissage en douceur des États-Unis se concrétise.

Peu avant 07h30, la plus connue des devises numériques se négociait à 98’945 dollars, non sans avoir auparavant dépassé les 99’000 dollars.

«La combinaison Trump- Musk», devenu bras droit du président élu, «est définitivement l’équipe de rêve pour le bitcoin», «dont le marché ne pouvait que fantasmer jusqu’à présent», résume Stephen Innes de SPI AM.

La plus importante cryptomonnaie par la capitalisation a dépassé ce palier vers 15h30 et continuait son ascension, dépassant moins de deux heures plus tard les 93’000 dollars.

Les objectifs se concentrent sur le renforcement de la surveillance préventive, ainsi que sur l’intégrité et la résistance opérationnelle et financière des établissements assujettis.

La cryptomonnaie affiche un gain de 1,08% par rapport à la veille, à 88’935 dollars. A titre de comparaison, elle s’échangeait sous les 70’000 dollars avant l’élection présidentielle du 5 novembre.