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Le choc de 2020 aura probablement des répercussions pendant plusieurs années, avant que le système ne soit complètement stabilisé.

Pour que les indices boursiers se stabilisent et que les investisseurs retrouvent de l’appétit pour le risque, il faudra que la rhétorique des banques centrales («le pilote») change.

Les titres sont survendus, sous-évalués et commencent à devenir intéressants pour les investisseurs de long terme.

Une sanction européenne réduisant les importations d'énergie entraînerait une récession immédiate de l'Union Européenne.

La combinaison de pressions inflationnistes grandissantes et d’une conjoncture toujours ferme va pousser les banques centrales à resserrer leur politique monétaire.

Les investisseurs doivent principalement intégrer le risque de réglementation lié à leur exposition aux émissions de gaz à effet de serre.

Le contexte actuel est celui d'une forte croissance bénéficiaire, ce qui compense clairement l’impact négatif de l'inflation.

Les actifs risqués sont montés en flèche et affichent aujourd’hui des valorisations qui rappellent la bulle internet en 2000.

Les bénéfices des entreprises sont appelés à se redresser fortement en 2021, de pair avec la reprise économique.

Deuxième vague d’infection, explosions des déficits publics et de la dette, faillites et chômage en hausse… de quoi tourner le dos aux actions?