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UBS devra pour sa part prévoir dans son système de rémunération des critères «comme la prise de conscience des risques», mais également d’efficacité, annonce le DFF.

La commission de gestion du Conseil national est fondamentalement pour une CEP. De son côté, le Bureau du Conseil des Etats temporise.

Le Parlement avalisera les crédits urgents décidés par le Conseil fédéral, soit 109 milliards de francs, au titre de garanties. Mais les responsabilités et la nécessité de revoir la régulation seront cœur des discussions.

La priorité première est de donner un signal de stabilisation, déclare Roland Fischer (PVL/LU), précisant toutefois que des questions importantes sur la réglementation ou la concurrence restaient à régler.

Les prêts inférieurs à 500’000 francs seront désormais soumis à un taux de 1,5%, et ceux d’un montant supérieur passent à 2%.

Le Conseil fédéral souhaite une analyse de cette fusion et une évaluation complète de la réglementation too big to fail.

Albert Rösti a dû faire face à de nombreuses critiques en raison de ses nombreux mandats annexes. Son bureau de consulting qui lui servait à développer ses activités s’est aussi retrouvé sous le feu des projecteurs.

L’initiative populaire «Mieux vivre à la retraite» demande le versement d’une rente de vieillesse supplémentaire, du même montant que la rente AVS perçue chaque mois. Cela correspond à une hausse mensuelle des rentes de 8,33%.

La nouvelle conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider se voit confier la Justice et Albert Rösti l’Energie.

Avec 140 voix sur 181 bulletins valables, le socialiste fribourgeois de 50 ans succède à Ignazio Cassis.