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Il s'agit d'un phénomène transitoire. L'inflation reviendra aux tendances d’avant la pandémie.

Logiquement peu de réactions à attendre de la part des marchés financiers si ce n’est peut-être des courbes de taux légèrement plus pentues.

Nous étudions les causes du retard pris par l’économie européenne ces vingt dernières années et montrons pourquoi, du point de vue des investisseurs, le verre devrait paraître à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

L'indice des prix à la consommation américain (IPC) a bondi en mai et les principaux moteurs semblent liés au redémarrage de l'activité.

L’inflation a impacté les marchés ces dernières semaines, avec beaucoup d’incertitudes quant au caractère plus ou moins transitoire de ces pressions inflationnistes.

D’ici quelques mois, nous serons fixés. Les banques centrales – et les marchés qui les suivent – auront été soit clairvoyants, soit naïfs.

Ce niveau élevé d’utilisation et d’investissements dans le numérique explique pourquoi le monde bancaire ne s’est pas fait (encore?) chambouler par l’entrée de nouveaux acteurs technologiques.

Vincent Juvyns de J.P. Morgan AM conserve une préférence pour les actions.

Graphique de la semaine de DWS. Les projets du G7 sur la fiscalité sont le dernier signe d'un retour en force de la politique en faveur des travailleurs.

La rencontre Biden-Poutine promet-elle un constat des dissensions plutôt qu’une tentative de rapprochement?