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Seuls les États-Unis ont vu leur PIB progresser (hausse de 0,5%, inchangé par rapport au trimestre précédent).

Le renchérissement des produits indigènes a été plus faible sur un mois (+0,1%) que celui des produits importés (+0,3%).

Vers 21h20, l’euro prenait 0,36% face au billet vert, à 1,1174 dollar, après être monté en cours de séance jusqu’à 1,1212 dollar.

«L’objectif est de fournir une action rapide et efficace qui réponde aux besoins des pays», a déclaré David Malpass, le président de la Banque mondiale.

Croissance, Europe solide et fin des conflits commerciaux permettrait à la Banque nationale suisse une sortie de cette mesure.

Les deux cours de référence, le Brent pour l’Europe et le WTI pour les Etats-Unis, ont perdu autour de 30% depuis un pic début janvier.

Suite à la forte baisse des taux de la Fed, son président a souligné l’incertitude régnant autour de «l’ampleur et la persistance» de l’impact de l’épidémie de coronavirus.

«Rien n’indique que les cantons pourraient bénéficier de versements supplémentaires au titre de 2020 comme ce fût le cas en 2019», estime l’agence de notation.

La Réserve fédérale crée la surprise en réduisant ses taux de 0,5 point de pourcentage.

Le PIB a progressé de 0,9% l’année dernière, selon la première estimation du Secrétariat d’Etat à l’économie. En 2018, la croissance avait atteint 2,8%.