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La société immobilière invoque les conséquences pour l’heure inquantifiable de la pandémie de coronavirus pour plafonner la rémunération de ses actionnaires.

La société immobilière spécialisée sur le marché allemand a dégagé un bénéfice après impôts de 91,0 millions, doublé par rapport aux 45,3 millions de l’exercice précédent.

Les promesses de ventes de logements ont augmenté pour le deuxième mois consécutif et ont grimpé de 2,4%. L’indicateur s’est établi à 111,5.

L’indice publié annuellement par MSCI et Wüest Partner s’est élevé à 6,2% en moyenne pour toutes les catégories de biens.

Le dividende ne s’élève qu’à 50 centimes de franc par action, contre 2,50 francs un an plus tôt. Malgré la crise liée au coronavirus, la direction se dit confiante pour 2020.

Un membre non-exécutif du conseil d’administration ou une personne juridique proche a cédé quelques 300’000 titres durant la période du 17 au 23 mars.

Une fois la crise passée, les marchés émergents pourraient connaître un rebond qui pourrait surpasser les prévisions du début d'année.

Les taux à cinq ans s’établissaient, jusqu’au 24 mars, à 1% et ceux à dix ans à 1,2%.

Le groupe de Dietlikon peut ainsi transférer la moitié de son portefeuille d’immeubles en développement au prix du marché dans la nouvelle société immobilière Ina Invest.

La question du paiement des loyers, notamment pour les entreprises et les commerces qui n’ont plus de revenus, se pose depuis le début de la crise.