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Aux États-Unis, l’emploi non-agricole est considéré comme étant par excellence la variable coïncidente du cycle.

Les tensions commerciales posent un problème aux banques centrales. Faire les bons choix devient difficile.

Le freinage de la croissance mondiale ne s’est pas accentué réfutant à ce jour les thèses les plus alarmistes.

Le changement de cap de la politique monétaire américaine profitera aux ménages les plus endettés diminuant ainsi le taux de défaut.

Après des mois d’apaisement, la guerre tarifaire a été soudainement relancée.

Les élections européennes devraient conforter deux tendances lourdes observées sur le continent.

A Noël, la récession américaine paraissait imminente. A Pâques, elle n’était plus du tout d’actualité.

Ce secteur a fait face à des perturbations ponctuelles en 2018 mais doit relever des défis structurels à moyen terme.

A un mois de ces élections, les intentions de vote ne montrent pas de percée majeure pour les partis anti-européens.

La faiblesse chronique de l’inflation américaine inquiète de plus en plus la banque centrale.