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Les députés britanniques se prononcent aujourd'hui sur la possibilité de sortir de l’UE sans aucun accord, alors qu’il reste seize jours avant la date prévue du divorce.

«Nous avons fait tout ce que nous avons pu pour aider» Theresa May, a déclaré Bruxelles après le rejet de l’accord de divorce par le Parlement britannique qui propulse le pays vers une séparation brutale.

L’accord porte sur certains composants de la plateforme Istana PKI développée par la société genevoise.

Ce sondage du Centre patronal intervient alors que le Conseil fédéral mène jusqu’en avril une large consultation sur ce dossier.

Les ministres en charge des affaires européennes des pays membres de l'Union européenne (UE) ont clairement soutenu l'accord-cadre négocié avec Berne.

Actuellement en phase de consultation en Suisse, le texte y est très controversé.

Après la validation des 28 ambassadeurs de l’UE, les ministres européens doivent désormais avaliser les conclusions sur l’accord-cadre mardi prochain.

Selon un diplomate de l’UE, un pays en particulier ne voulait pas soutenir le texte. Probablement la Hongrie.

Les pays membres de l'UE «regrettent beaucoup» que le Conseil fédéral n’ait pas approuvé l’accord-cadre en décembre 2018.

Le Tribunal fédéral américain compétent de New York a formellement rejeté les accusations portées contre la banque.