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Remontée des spreads et regain de volatilité sont à attendre, sur fond de dispersion des performances entre secteurs.

Le pourcentage de la population des États-Unis qui se situe en dehors de la population active et affirme ne pas vouloir d’emploi augmente.

L’Italie a connu une année 2021 assez exceptionnelle à la fois sur le plan économique et politique.

Rien d’étonnant à ce que la récente hausse des prix de l’électricité ait relancé le débat sociopolitique sur l’inflation, la politique climatique et les conséquences pour les marchés des capitaux.

Les taux longs retrouvent leurs plus hauts niveaux post-pandémie, tant aux Etats-Unis qu’en Europe.

Les marchés d’actions deviendront encore plus résistants à la pandémie du COVID-19 et le rebond des actions survivra au resserrement monétaire plus rapide orchestré par la Fed.

A commencer par l’inflation, il y a clairement un mur d'inquiétude que les investisseurs doivent escalader en ce début d'année.

Deux décennies plus tard, il est difficile de ne pas être déçu par l'intégration économique.

L’étude de rémunération Robert Walters, présentée par Guillaume Blanchin, conclut à une reprise de pouvoir des candidats dans une Suisse en quasi plein emploi. La confiance règne.

La Réserve Fédérale US – et par voie de conséquence les investisseurs – ont commencé 2022 sur les «charbons ardents».