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L’effet cumulé de ces pertes d’emploi pourrait commencer à peser sur les chiffres de l’emploi d’ici la fin 2025. Cela laisse du temps à la Fed.

Les investisseurs doivent s’attendre à une recrudescence de la volatilité. Privilégier les titres obligataires de courte duration semble judicieux.

La trêve en matière de droits de douane entre les États-Unis et la Chine entraîne une baisse des tensions commerciales significative, bien que temporaire.

Attente de données objectives dans un contexte de pression politique.

Les Real estate investment trusts cotées restent notamment relativement isolées des politiques tarifaires.

Les investisseurs devraient continuer à placer leurs préoccupations liées à l’inflation au cœur de leur réflexion, avec de lourdes implications déjà tangibles pour la Fed, les obligations et les actions.

La tendance des investisseurs à arrêter les contributions ou à retirer des fonds pendant les périodes de crises du marché, est une difficulté comportementale majeure pour la planification financière à long terme.

Dans un contexte où les dynamiques politiques devancent les fondamentaux économiques, la résilience devient plus cruciale que jamais.

Etant donné qu’environ 6% de la consommation de biens personnels est liée aux importations, les droits de douane des Etats-Unis pourraient à eux seuls faire monter l’inflation de 1,4%.

Il existe des raisons de croire que l’exceptionnalisme des États-Unis se poursuivra, étant donné le scepticisme quant à la capacité de l’UE à reproduire les mesures de relance budgétaire de l’Allemagne.