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Pour Peter Casanova, analyste actions chez Julius Baer, les investisseurs préfèrent une évolution constante et prévisible des activités d’une société.

Actions - principalement américaines - et pas de risque de duration sur l’obligataire: la stratégie d’Alexandre Drabowicz, d’Indosuez Wealth Management.

A la tête de la Banque Cantonale de Fribourg depuis 2021, Daniel Wenger estime que conserver un réseau de succursales reste important malgré l’essor des offres en ligne.

En matière de placements, Compenswiss veut éviter une situation dans laquelle elle aurait besoin de liquider précipitamment des actions, souligne son directeur Eric Breval.

Les actions des assureurs suisses présentent une solide performance en 2024, mais Zurich Insurance, qui présente ses résultats le 22 février, est à la peine. Avec Simon Fössmeier, de Vontobel.

La prime des actions américaines par rapport aux européennes atteint 60%, note Birgitte Olsen, de Bellevue Asset Management.

Le président de l’ASA, Stefan Mäder, explique la nécessité d’un système stable des trois piliers et le refus d’une 13e rente AVS.

Dans le résidentiel, l’état d’esprit des propriétaires a changé, surtout à Genève, selon Julian Reymond, de Realstone, lequel souligne aussi les atouts de l’immobilier industriel.

Compte tenu d’un taux de chômage toujours faible, la Fed a le temps d’attendre avant de baisser ses taux, estime Steven Bell de Columbia Threadneedle.

En fin d’année, les taux directeurs devraient atteindre 4,5% aux Etats-Unis et 3% en Europe. La BNS devrait réduire ses taux de 1,75 à 1,25%. Entretien avec Bill Papadakis, de Lombard Odier.