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Le Mercredi noir fut un «jour de désastre» dont le gouvernement du premier ministre de l’époque, John Major, ne se relèvera pas.

La nécessité pour le FMI de jouer un rôle central dans la gestion d'une crise mondiale est l'un des rares domaines sur lesquels les pays du G20 pourraient être d'accord.

Le fait que les grands pays émergents aient jusqu'ici bien résisté à la hausse des taux d'intérêt américains et à l'appréciation du dollar constitue une agréable surprise.

L’actuelle perte d’accès aux marchés constitue un retour à la normale, et une réduction massive de la dette s’avère tout à fait logique.

Le pays a bénéficié d’un secteur technologique dynamique, de gains de productivité étonnants dans le domaine agricole, ainsi que d’une croissance satisfaisante du secteur manufacturier.

Après des décennies de relative stabilité, depuis une quinzaine d'année l'Opep et les producteurs de gaz de schiste ont perdu leur place dominante sur le marché pétrolier.

Plus tôt les dirigeants américains comprendront que tout le monde ne voit pas en rose les ambitions mondiales des Etats-Unis, mieux ce sera pour tous.

Il n’est pas trop tôt pour commencer à penser à ce qui pourrait garantir la stabilité, la prospérité et la sécurité de l’Ukraine d’après-guerre.

La restriction des échanges aux pays amis est compréhensible si elle s’applique exclusivement aux produits qui touchent directement à la sécurité nationale.

Un atterrissage brutal avec retour à une inflation plus faible semble plus probable, ou un scénario stagflationniste.