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Le Brent termine sur un gain de 2,92% à 113,45 dollars et le WTI finit sur un bond de 3,43% à 107,82 dollars.

Les réserves ont reculé de 3,4 millions de barils, soit bien davantage que les 2 millions attendus par les analystes, pour s’inscrire à 409,9 millions de barils, soit leur niveau le plus bas depuis octobre 2018.

Le groupe zougois ne va pas s’engager dans de nouvelles activités commerciales avec des matières premières d’origine russe.

La place luganaise, particulièrement active dans les métaux industriels, est très exposée. La faîtière Lugano Commodities Trading Association (LCTA) décrit une situation dramatique.

Le Brent termine sur une perte de 2,00% à 110,23 dollars et le WTI finit sur un recul de 1,62% à 104,24 dollars.

Le Brent termine sur une dégringolade de 6,77% à 112,48 dollars et le WTI finit sur une chute de 6,97% à 105,96 dollars.

Du pessimisme extrême à la complaisance?

Le Brent repasse la barre des 120 dollars, avec une montée de 1,36% à 120,65 dollars, et le WTI termine sur un gain de 1,42% à 113,90 dollars.

Vendredi vers 17h30, la tonne de nickel s’échangeait à 35’260 dollars sur le LME, après avoir touché les 40’700 dollars dans la même séance.

Le Brent termine sur une perte de 2,11% à 119,03 dollars et le WTI finit sur une baisse 2,26% à 112,34 dollars.