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Si les prévisions d’évolution de l’activité restent relativement prudentes, elles se sont améliorées dans la grande majorité des secteurs étudiés.

L’économie française devrait rebondir fortement de 14% au troisième trimestre par rapport au deuxième, grâce à la poursuite de la normalisation de l’activité et après un deuxième trimestre légèrement meilleur qu’initialement attendu, selon une estimation publiée lundi de la Banque de France.

La banque dirigée par Yves Mirabaud, va participer au financement de la rénovation urbaine de Paris via un fonds de placement dédié avec l’aide d’un ancien ministre français.

L’audience a été reportée en mars prochain du fait de «l’impossibilité pour plusieurs personnes de venir s’expliquer», selon la justice française.

La pandémie aura des répercussions contrastées mais gérables.

Angela Merkel et Emmanuel Macron présentent un plan inédit à 500 milliards d’euros pour sortir l’UE de la crise du coronavirus.

L’agence de notation craint une détérioration des finances publiques et de l’économie cette année. Pour l’instant, l’Hexagone conserve son double A.

A moins que le pétrole ne remonte soudainement, l’inflation totale devrait rester inférieure à 2% jusqu’au terme de notre horizon prévisionnel, fin 2021.

Comme les tribunaux sont actuellement fermés dans l’Hexagone, le verdict pourrait ne tomber que l’année prochaine.

Pôle emploi recense un bond de 7,1%, ou 246'100 demandeurs d’emploi, portant le total à 3,732 millions.