Allnews

Le prix du gaz naturel européen s’est envolé vendredi à 342,005 euros le MWh, à peine en dessous de son sommet en séance enregistré en mars après l’invasion russe de l’Ukraine.

Francfort (-2,26%), Milan (-2,49%), Paris (-1,68%) et Londres (-0,70%) ont décroché en fin de séance, terminant en baisse sur l’ensemble de la semaine. A Zurich, le SMI a cédé 1,10%.

Les bourses du Vieux Continent terminent en petite hausse une séance mitigée, à l’exception de Paris qui clôture proche de l’équilibre (-0,08%).

Après être monté jusqu’à 324 euros le mégawattheure dans la journée, le contrat à terme du TTF néerlandais évoluait à 315,115 euros vers 17h45.

Après être monté à 302,995 euros le MWh, le contrat à terme du TTF néerlandais évoluait à 292,150 euros, vers 18h, poussé depuis plusieurs séances en raison des suspensions d’approvisionnement russe à venir.

Dans le rouge au cours de la matinée, les bourses ont finalement connu une séance positive. Paris a fini dans le vert (+0,39%) tout comme Francfort (+0,20%) et Milan (+0,23%). Londres est restée en retrait (-0,22%). Zurich avance de 0,73%.

Les bourses ne sont pas parvenues à remonter la pente, même aidées par certaines valeurs du secteur de l’énergie: Francfort a lâché 0,27%, Paris 0,26% et Londres 0,61%. A Zurich, le SMI a cédé 1,38%.

Le contrat à terme du TTF néerlandais a touché 295 euros le mégawattheure, un niveau plus vu depuis les séances très volatiles des premières semaines de l’invasion russe de l’Ukraine mi-mars.

Les indices flanchent de 1,80% à Paris et de 2,32% à Francfort, plombés par la crise énergétique qui menace de plonger l’Europe dans la récession. Milan cède 1,64% et Londres seulement 0,22%. Zurich recule de 0,64%.

La difficulté de l’UE à amasser des réserves suffisantes pour pouvoir se passer des exportations russes a fait monter le prix du contrat à terme du TTF néerlandais à 257,40 euros, du jamais vu en fin de séance.