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Le taux de chômage pourrait avoisiner les 20%, soit deux fois plus que ce qu’avait connu le pays au pire moment de la Grande récession de 2009.

La crise du coronavirus a affecté toutes les catégories d’entreprises, selon ADP. Les analystes s'attendaient toutefois à un chiffre encore plus catastrophique.

Mais même si la BCE réussit à convaincre (ce qui est probable, elle a une armée de bons juristes!) cela risque de limiter ses marges d’action.

«La Réserve fédérale fait tout ce qu’elle peut pour minimiser le nombre de cicatrices», déclare le vice-président Richard Clarida.

Le solde des échanges des biens et services s’est établi à -44,4 milliards de dollars (+11,6%), notamment suite à des exportations en repli de 9,6% à 187,7 milliards.

L’indice ISM est tombé à 41,8%, contre 52,2% en mars. Il passe ainsi, pour la première fois depuis 10 ans, sous la barre des 50%.

L’Etat fédéral va précéder à des émissions d’obligations essentiellement pour financer le plan de relance de l’économie US.

«C’est quelque chose qui aurait pu être contenu à l’endroit d’origine et je pense que ça aurait pu être contenu très facilement», a déclaré le président américain.

Les prêts pourront désormais être attribués aux entreprises de moins de 15’000 salariés avec un chiffre d’affaires annuel jusqu’à 5 milliards de dollars.

Le niveau hebdomadaire recule par rapport à la semaine précédente mais dépasse les attentes des analystes.