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La banque française a été passée en catégorie 2, ce qui signifie qu’elle va devoir se conformer à des exigences plus strictes au niveau des capitaux qu’elle doit mettre de côté pour pouvoir résister en cas de choc sur le système bancaire et les marchés financiers.

Pour l’Association suisse des banquiers (ASB), on ne devrait pas «limiter la compétitivité sans raison».

Cette mesure est dans l’intérêt de la stabilité financière, indique mercredi le Conseil fédéral.

Avant-crise, début de la crise et son aggravation, quatre jours clé  (15 au 19 mars) et mise en oeuvre de la fusion d’urgence: la gestion des événements par les autorités concernées sera examinée.

Le groupe d’experts a plaidé carrément pour un doublement des effectifs de la FINMA. 

Les grandes banques s’accordent à Genève sur le fait qu’il faut fixer des règles mondiales équitables.

Les établissements concernés, tels qu’UBS et Credit Suisse, devront à l’avenir notamment être parés contre les crises de liquidités pendant 90 jours, contre 30 actuellement.

Le Financial Stability Board de Bâle maintient les deux grandes banques suisses dans la catégorie 1 de son classement, c’est-à-dire la moins risquée.

Le gouvernement rejette deux motions socialistes visant les primes des cadres supérieurs et les fonds propres.

Cette mesure est dans l’intérêt de la stabilité financière, a expliqué Martin Schmid (PLR/GR). Elle reste nécessaire tant que la réforme de l’impôt anticipé ne sera pas sous toit.