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Un mois après la fin de l’équivalence boursière, les volumes ont affiché une hausse de 26% par rapport à juin.

«Des entreprises ne seront plus en capacité de fonctionner dans cette hypothèse», a prévenu le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE), Mark Carney.

«L’accord de retrait a été rejeté trois fois (...) Ses termes sont inacceptables pour ce parlement et ce pays», a assuré le nouveau premier ministre britannique, réclamant «l’abolition du filet de sécurité» irlandais.

«Le ‘non à l’accord’ ne sera jamais le choix de l’UE, mais nous sommes prêts», a déclaré Michel Barnier.

«S’il devait y avoir des droits de douane américains, nous disposerions d’une liste de rééquilibrage. J’espère qu’on n’aura pas à l’utiliser», a déclaré la commissaire Cecilia Malmström.

«Le système financier britannique est prêt pour le Brexit quelle que soit la forme qu’il prendra», a assuré le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE), Mark Carney.

Le nouveau directeur de l’Association suisse des banquiers, Jörg Gasser, déplore cette entrave faite aux marchés financiers, qui donne une impression de fermeture.

La mesure d’urgence du Conseil fédéral pourrait durer, selon Joël Frey, responsable des exécutions des transactions à la BC de Zurich.

La fin de l’équivalence boursière dans l’Union européenne ne se fait pas encore vraiment ressentir, selon les statistiques de SIX.

Les autorités réagissent à l’absence de prolongation d’équivalence de la part de l’Union européenne.