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La baisse du pétrole vient aider l'industrie européenne, pour qui, les premières lueurs d'espoir apparaissent avec les signaux de la fin du déstockage.

2024 porte de nombreux espoirs: l'espoir d'une détente monétaire et inflationniste ainsi que l'espoir d'un apaisement géopolitique.

Entre deux tergiversations obligataires, les publications d’entreprises déçoivent et les petites et moyennes capitalisations creusent leur décote.

Transition énergétique et réarmement: un remake du supercycle des matières premières qui précéda la Seconde Guerre mondiale.

Face aux tensions géopolitiques, les investisseurs actions se tournent vers les pétrolières diversifiées.

Le dollar fort et les craintes de récession l'emportent pour l’instant sur le rôle de couverture géopolitique du baril.

Plus besoin des banques centrales pour serrer la vis des conditions financières?

Les premiers signes d'amélioration du momentum industriel vont-ils suffire à restaurer l’optimisme?

Une chose est certaine, à court terme, l'IA risque d'aggraver le sempiternel conflit entre capital et travail.

Le rebond des matières premières est -il susceptible de remettre en cause le scénario désinflationniste?