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Concrètement elles ont progressé de 5,4% par rapport au mois de décembre après correction des variations saisonnières, pour s’établir à 18,86 milliards de francs.

Ce résultat s’explique avant tout par l’impact de la pandémie de coronavirus, explique le Département fédéral des finances.

La commission de l’économie du Conseil des Etats a déposé à l’unanimité une motion, visant à préserver la compétitivité du secteur.

Au quatrième trimestre, l’indice suisse des prix de l’immobilier résidentiel (IMPI) a progressé de 2,3% par comparaison avec le trimestre précédent, pour s’inscrire à 103,1 points.

Un certain nombre de personnes ont renoncé à chercher un emploi à cause du second confinement.

Le recul reste toujours particulièrement marqué pour les voitures de tourisme (-18,9%), qui représentent plus de trois quarts des nouvelles immatriculations.

CBRE Suisse a pu compiler une base de données de transactions immobilières, et grâce à cela montrer la portée d'une éventuelle extension de la «Lex Koller».

Sur un an, le renchérissement demeure négatif pour 0,5%.

Les ménages ont consommé pour un total de 30 milliards de francs en 2020, soit 11,3% de plus qu’en 2019.

«Nous accordons désormais davantage d’attention aux questions stratégique tournées vers l’avenir», selon Marlene Amstad.