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Ce résultat confirme le point de vue de S&P selon lequel les banques européennes ont réalisé des progrès constants dans le rééquilibrage de leur profil de financement et le renforcement de leur position de liquidité.

Dans un scénario no deal, le PIB du Royaume-Uni devraient diminuer de 2,8% en 2020.
 

Une nouvelle accumulation de dettes subordonnées de premier rang d'émetteurs européens et canadiens est à prévoir.

Les défis que pose l’e-commerce au commerce de détail pourraient nuire à la solvabilité des propriétaires d'immeubles commerciaux au cours des prochaines années.

Les rendements du Bund allemand resteront en territoire négatif jusqu'en 2022 en raison de la stagnation séculaire de la zone euro et de la politique monétaire de la BCE.

En raison de l'affaiblissement de l'environnement économique, le trafic devrait continuer de ralentir l’année prochaine.

Les fabricants et vendeurs d’articles grand public, plutôt que les consommateurs, assumeront la majeure partie des coûts.

La faiblesse des investissements des entreprises pèse sur la croissance. L’impact du ralentissement mondial devrait durer encore plusieurs années.

Les modifications proposées au bilan pourraient réduire la transparence en supprimant l'information sur le risque de crédit.

L'aggravation de la conjoncture mondiale, le conflit sino-US et le coût élevé de l'innovation pour les constructeurs continueront de freiner les ventes mondiales.