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Des hausses d’un demi-point de pourcentage, plus rapides que les habituels relèvements d’un quart de point, seront «sans doute appropriées lors des prochaines réunions», selon les minutes du FOMC.

BAK Economics prévoit que les prix du commerce de détail augmenteront de 1,2% cette année, tandis que la consommation générale (IPC) augmentera de 2,1%.

Trois ménages sur quatre décrivaient à cette période leur situation financière comme correcte, voire même confortable, selon une étude de la Fed.

Si l’inflation ne redescend pas à moyen terme dans la fourchette cible de 0% à 2%, «nous n’hésiterons pas à resserrer notre politique monétaire», déclare la membre du directoire Andréa Maechler au magazine Bilan.

«Sur la base des perspectives actuelles, nous serons probablement en mesure de sortir des taux d’intérêt négatifs d’ici la fin du troisième trimestre», estime Christine Lagarde.

«Lorsque vous êtes dans un environnement de taux d’inflation autour de 7% (...), la conclusion est que les taux d’intérêt doivent augmenter», déclare le président de la Bundesbank à l’issue d’une réunion du G7.

Sur fond d’inflation galopante aux USA et en zone euro, les économistes de la banque tablent sur une hausse de 0,25 point de pourcentage au début de l’automne, soit 2 mois plus tôt qu’initialement estimé.

En mars, le renchérissement n’était «que» de 7%. Outre l’envolée de l’énergie, l’Office national des statistiques pointe aussi le bond des métaux et des produits chimiques.

Eurostat estime maintenant la progression du PIB à 0,3% sur les trois premiers mois de l’année, contre 0,2% annoncé à fin avril.

Dans le détail, 46% approuvent une baisse des taxes et 18% sont plutôt d’accord. A l’opposé, 22% rejettent la proposition et 13% sont plutôt contre, selon l’enquête de Tamedia et de 20 Minutes.