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Alors que le soupçon de greenwashing pèse sur la finance durable, la comparaison de données prospectives et rétrospectives aide à trier le bon grain de l’ivraie.

«Les investisseurs doivent combiner des allocations ciblées à des solutions spécialisées dans le domaine du climat avec une réorientation des gros portefeuilles vers des investissements respectueux du climat», déclare le CEO Michael John Lytle.

Selon une enquête de Tabula, fournisseur d'ETF dirigé par Michael John Lytle, la majorité des investisseurs et des gestionnaires de fortune utilisent plus d'un fournisseur de données ESG.

Le capital servira à réduire le degré de financement tiers, à acquérir de nouveaux biens immobiliers et à réaliser des investissements durables dans le portefeuille.

«Ces deux fonds vont permettre aux investisseurs d'exploiter de vastes opportunités, tout en contribuant au financement de projets environnementaux, sociaux et durables à impact», indique Hilary Lopez, responsable EMEA Third Party Wealth.

Le gestionnaire de fortune a élevé son taux d’opposition aux propositions à 37%, contre 33% précédemment.

Schroders s'oppose plus fréquemment aux recommandations des conseils d'administration qu'il y a cinq ans. Les rémunérations restent un point d’achoppement fréquent.

«Notre rapport démontre comment des initiatives en matière de développement durable créent de la valeur pour nos actionnaires à travers des exemples concrets», explique Patrick Richard, membre exécutif du conseil d’administration.

Le National a accepté une motion de Bruno Storni (PS/TI) en ce sens, contre l’avis du Conseil fédéral. Le Conseil des Etats doit encore se prononcer.

Les résultats du rapport suggèrent que les utilisateurs se concentrent sur un éventail plus varié d'initiatives ESG et prennent en compte les questions de durabilité de manière plus approfondie que les bailleurs.