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L’estimation de la progression du PIB des Etats-Unis a été révisée en baisse au quatrième trimestre 2018, passant de 2,6% à 2,2% en rythme annuel.

«Ces évolutions témoignent du dynamisme de l’entreprise et des parcours que nous pouvons offrir à chacun des membres de notre équipe», déclare David Mellul, Directeur Général du groupe.

Le Fonds table sur la solidité de l’économie grâce au «taux de chômage historiquement bas et de hauts niveaux de confiance des entreprises et des ménages».

Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment que l’économie américaine est sur la voie des 3% de croissance sur dix ans.

L’économie suisse est plus exposée à la Chine qu’il n’y paraît au premier regard, selon le «Moniteur Suisse» pour le premier trimestre 2019, publié par Credit Suisse.

Outre la dégradation de l’indice de confiance des consommateurs, les transactions immobilière ont nettement fléchi.

La banque centrale prévoit une progression du PIB de 1,4% en 2019 et 1,5% en 2020, contre 1,5% et 1,6% précédemment.

Les économistes fédéraux tablent désormais sur un produit intérieur (PIB) en hausse de seulement 1,1%, au lieu de 1,5% précédemment attendu.

Le gouvernement table sur 1,2%, contre 1,6% précédemment, et évoque la persistance d’un «nuage d’incertitude» après le second rejet de l’accord de Brexit.

La croissance du PIB a ralenti dans la majorité des économies du G20 – de manière significative au Mexique et au Royaume-Uni, plus modérément en Afrique du Sud et aux États-Unis et marginalement en Chine.