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Le géant français BNP Paribas fait toujours figure de référence, avec 3,1 milliards d’euros de résultat net, suivi en France par le groupe Crédit Agricole et ses 2,4 milliards d’euros de bénéfice net entre janvier et mars.

La banque française a tiré profit de la fin de la charge exceptionnelle liée à sa participation au fonds de sauvetage des banques européennes. Ajusté de cet élément exceptionnel le résultat net a crû de 6,1%.

«L’entreprise commune a l’ambition de devenir un acteur majeur des services monétiques aux commerçants en France», résument les deux partenaires.

L’année 2023 a été particulièrement bonne pour l’entité cotée du groupe, Crédit Agricole SA (Casa), dont le bénéfice net atteint un record de 6,35 milliards d’euros, en hausse de 19,6% sur un an.

«Avec cette opération, Crédit Agricole réaffirme sa confiance en son partenaire: une franchise solide, des technologies de premier plan et des capacités d’innovation reconnues, au service de ses clients», a commenté le groupe bancaire.

Crédit Agricole a émis un emprunt (Senior Preferred) sous la direction d'UBS.

Le groupe bancaire français engrange entre juillet et septembre un revenu en hausse de 12,5% sur un an à 9,25 milliards d’euros, dont 6,34 milliards pour l’entité cotée Crédit Agricole SA.

A partir du 1^er janvier 2024, Sofinco Auto Moto Loisirs rejoindra Crédit Agricole Auto Bank (l’ex-FCA Bank de Fiat-Chrysler), explique le groupe.

Avec près de 4,2 milliards d’euros de bénéfice net réalisé depuis janvier, le groupe affirme sa position de deuxième banque française derrière BNP Paribas (7,2 milliards d’euros de bénéfice sur le semestre).

«Notre valeur ajoutée, c’est qu’autour de la banque, on permet à nos clients de simplifier un certain nombre de tâches», a souligné auprès de l’AFP Simon Parisot, cofondateur de la société.