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Les banques françaises élaborent un processeur qui répondra aux enjeux de la numérisation.

La fintech genevoise dirigée par Zhina Asmaei compte offrir des possibilités de paiement et de change alliées à un accès à des services lifestyle.

Avec la Fed et la BNS, l’objectif est de comprendre comment les dépôts numérisés de banques commerciales peuvent être intégrés aux monnaies de banques centrales sur une plateforme financière public-privé.

«L’entreprise commune a l’ambition de devenir un acteur majeur des services monétiques aux commerçants en France», résument les deux partenaires.

La banque roumaine opte pour Temenos Payments afin de faciliter le respect de la norme ISO 20022 pour la réalisation de paiements et de reportings transfrontaliers sur le réseau Swift.

«Plus de cent banques centrales à travers le monde travaillent actuellement à l’introduction d’une version numérique de leur monnaie, l’Europe ne peut pas rester à la traîne», estime Valdis Dombrovskis.

Avec ce tour de financement, la plateforme compte offrir aux entreprises mondiales un accès en tout temps pour les paiements en Asie du Sud-Est, en Turquie et en Europe.

Le recours à ces plateformes a plus que doublé en deux ans, leur part passant à 11% du nombre de transactions recensées par la BNS, contre 5% auparavant.

Les distributeurs à billets et le paiement par cartes étaient bloqués de 14h15 à 15h54. Les raisons ne sont pas encore connues.

La Banque nationale planche notamment sur l’augmentation de la rapidité des transactions pour les paiements sans numéraire, avec l’objectif d’un règlement instantané, «en temps réel, 24 heures sur 24», explique Andréa Maechler.