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Les perspectives pour novembre sont sombres à cause du reconfinement.

En raison d’une reprise incomplète, incertaine et inégale, la BNS se déclare prête en cas de besoin à intervenir de nouveau de manière «accrue» sur le marché des devises.

La fin d’une partie des mesures de relance va modérer la reprise économique au Royaume-Uni et ailleurs.

Le baromètre a atteint une valeur comparable pour la dernière fois à la fin de la crise financière de 2009/2010.

«Nous connaissons une reprise qui s’alimente toute seule, avec une économie qui remonte rapidement après avoir beaucoup chuté», a déclaré le conseiller économique Larry Kudlow.

Les indicateurs sont plutôt au vert pâle à l’approche de l’automne alors que démocrates et républicains sont incapables de s’accorder sur un plan de soutien.

La Réserve fédérale table sur un recul de 3,7% du PIB en 2020, contre 6,5% prévus en juin. Son président insiste sur l’importance de nouvelles aides pour les ménages et les entreprises.

La Banque de France table sur un contraction du PIB de 8,7% en 2020, contre un plongeon de 10,3% anticipé en juin.

Au regard du nombre toujours élevé de contaminations, le rebond économique est freiné et la reprise attendue pas avant la fin d’année et sur 2021.

Le secteur pharmaceutique très résistant a contribué à atténuer le recul du PIB.