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Le principal facteur de cette hausse est l’aggravation de la crise à la frontière russo-ukrainienne, qui pousse les investisseurs à se tourner de plus en plus vers des placements sûrs comme l’or.

Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s’échangeait à 9’763,50 dollars vendredi, contre 9’507,50 dollars le vendredi précédent.

Depuis le début de l’année, le prix du «métal du diable» a augmenté de près de 18%.

La tonne de nickel a atteint un pic à 22’935 dollars en raison de craintes que l’Indonésie n’introduise des taxes sur le «métal du diable».

En cours de séance lundi, l’once de métal jaune a atteint 1’831,88 dollars, un sommet depuis fin novembre 2021, avant de redescendre sous les 1’800 dollars à 17h35.

Vers 18H15, l’once d’or valait 1'780,96 dollars, contre 1'802,59 dollars la semaine précédente en fin d’échanges.

Le métal jaune a atteint un pic en cinq mois, à 1’877,15 dollars l’once, après la publication des ventes au détail américaines en octobre, qui ont augmenté plus que prévu.

Le métal jaune aurait pu souffrir d’une semaine où l’appétit pour le risque des marchés était prononcé, mais la patience des banques centrales a effacé cette perspective.

Les cours de l'or ont reculé sur la semaine, le marché peinant à se positionner entre possible durcissement de la politique monétaire et crainte d'une inflation persistante.

Les achats mondiaux d’or s’affichent en baisse de 7% en glissement annuel, à 831 tonnes, d’après le rapport trimestriel du Conseil mondial de l’or (CMO).