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Pour les six premiers mois de l’exercice en cours, le groupe zurichois s’attend à un bénéfice net en chute de 35 à 40%. En cause, la situation géopolitique toujours incertaine et la volatilité toujours très élevée des marchés.

Les marchés financiers n'ont pas encore pleinement pris conscience de l'importance croissante des sociétés biotechnologiques de petite et moyenne capitalisation dotées de pipelines de produits innovants.

Les actionnaires vont bénéficier de cette performance, le dividende proposé étant gonflé de 80% à 2,70 francs par action.

La décision de la Fed sera déterminante afin de savoir s'il s'agit d'une reprise transitoire ou du début d'une longue période de forte inflation.

Le gestionnaire d’actifs zurichois, dont les fonds des clients ont crû de 6%, a vu son bénéfice net quasiment doubler (+93%) à 43,1 millions de francs.

L'oncologie est le domaine thérapeutique qui a de loin la plus grande pondération dans le portefeuille d'investissements de BB Biotech, suivi par les maladies héréditaires rares et les troubles du système nerveux central.

«Les entreprises familiales européennes ont obtenu des notes ESG supérieures à la moyenne, ce depuis plusieurs années, par rapport à leurs homologues étrangers, et nous souhaitons nous concentrer sur ce thème», explique Birgitte Olsen.

Le fonds est géré par Alexandrine Jaecklin (photo) et Lucio Soso.

Maurizio Bernasconi souligne le rôle toujours plus décisif joué par les sociétés biotech en matière d’innovations dans les sciences de la vie.

Au-delà de l'intérêt public pour les nouveaux vaccins destinés à lutter contre le COVID-19, l’oncologie apporte cette année une multitude de nouvelles données cliniques.