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Plaignez nos banques centrales, car la récompense pour tout leur bon travail sera… davantage de travail.

Toutefois, une nouvelle accélération de l'économie et/ou des risques d'anticipations inflationnistes temporaires pourraient effrayer les investisseurs.

Godot peut revêtir bien des formes sur les marchés. Celle, pour les investisseurs restés à l’écart, d’une correction qui ne vient jamais.

Un newsflow macrofinancier très porteur en cette fin d’année 2021.

Si le débat économique se focalise aujourd’hui sur l’inflation, la tendance de croissance sera un point clé des décisions monétaires pour l’année prochaine.

Tout ce qui était autrefois considéré comme un péché ne l’est plus aujourd’hui. La dette publique qui échappe de plus en plus à tout contrôle en est un parfait exemple.

Dans ses perspectives d’investissement 2022, Amundi table notamment sur le scénario du «retour aux années 1970» et estime que les banques centrales accepteront de rester en retrait des anticipations de marchés.

«La condition préalable la plus importante pour construire un portefeuille équilibré est l'analyse correcte des facteurs de risque d'une action», explique Christoph Schmidt.

La reprise demeure incomplète et le rythme de l'expansion économique va inévitablement ralentir après avoir atteint des sommets exceptionnels.

L’objectif de réduire le réchauffement climatique à +1,5 degré semble s’éloigner, +1,8 degré devenant un objectif plus réaliste si tous les pays respectent leurs engagements en matière de neutralité carbone.