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Dans la quête de rendement, c’est encore le bon moment de constituer des portefeuilles composés à la fois d’obligations souveraines et d’obligations d’entreprises.

Pas de grave crise systémique en vue ces prochains trimestres mais d’importantes secousses pourraient advenir en Europe et aux Etats-Unis.

Une approche granulaire est essentielle alors que les rendements des obligations d'État atteignent des sommets pluriannuels.

Les entreprises des pays émergents sont amenées à jouer un rôle de plus en plus prépondérant dans le paysage économique mondial.

La trajectoire encourageante des petits pays du Sud de l’Europe pourrait fournir une source d’inspiration à d’autres pays en difficulté budgétaire dans le monde.

L’or a connu un mois d’octobre vigoureux. Alors que les actions aurifères sont restées à la traîne de l’or, nous pensons qu’une éventuelle réévaluation du secteur pourrait inverser la tendance et soutenir les sociétés aurifères.

L’Allemagne est confrontée à un resserrement budgétaire. Les élections néerlandaises constituent un casse-tête pour l’UE. La frénésie de consommation se poursuit aux Etats-Unis.

Les investisseurs vont se concentrer sur de possibles baisses des taux par les banques centrales au deuxième et au troisième trimestre.

En attendant les festivités qui les propulseront en 2024, les investisseurs cherchent déjà à se positionner pour tirer parti du scénario macroéconomique et financier qui se profile.

Pour la deuxième année de suite, nous nous essayons ci-dessous à l’exercice préféré de Byron Wien*.