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Le responsable de la stratégie d’investissements Thomas Kennedy identifie deux sources principales d'incertitudes: le risque géopolitique et les élections présidentielles américaines.

Les conséquences de l'IA seront profondes, même si elles ne sont pas aussi révolutionnaires que certaines des innovations technologiques les plus remarquables des siècles derniers.

Si la BCE a procédé à une première baisse des taux, largement pré-annoncée, elle a dans le même temps remonté ses anticipations d’inflation pour 2024 et 2025.

«Les investisseurs sont prêts non seulement à maintenir leur allocation mais aussi à l’augmenter nettement afin d’enregistrer des performances ajustées du risque attractives sur le long terme», explique Jeremy Coller.

Après l’échec aux élections européennes, Emmanuel Macron convoque des élections anticipées. Les regards se tournent vers l’IPC américain et la réunion de la Fed. L’Opep met un terme à ses réductions volontaires de production.

Nous continuons à surpondérer les actions américaines à l'approche des élections, tout en restant prudents sur les obligations, compte tenu des perspectives budgétaires.

Si l’on en croit Standard & Poors, qui a dégradé il y a peu la note long terme de la France, le regain de croissance à attendre des réformes ne suffira pas à réduire les déficits.

La Réserve fédérale devrait laisser ses taux d'intérêt inchangés, toujours dans une fourchette cible de 5,25% à 5,50%.

L’atterrissage en douceur demeure le scénario de croissance le plus probable.

Pour de nombreux investisseurs, l’impact écologique ou social de leurs placements est crucial. Une approche différenciée de l’impact peut être la clé.