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Malgré les éléments négatifs, le pessimisme ne doit gagner ni l’investisseur, ni l’humanité.

Cette crise pourrait inciter de nombreuses entreprises à privilégier désormais une production locale et le monde sera davantage numérique.

Il est temps pour les investisseurs d’arrêter d’opposer les instruments de gestion sous l’angle actif ou passif.

Les PME recourent beaucoup au programme de crédits COVID-19 élaboré par la Confédération et les banques. Le processus via les banques fonctionne très bien.

Les investisseurs commencent à regarder au-delà de la vallée et à chercher les titres et secteurs qui se relèveront le plus vite ou qui bénéficieront des changements induits par la pandémie.

Peut-être faudrait-il répartir les entreprises entre les catégories: zombies, survivants et gagnants pendant la crise?

Les obligations d’entreprises déchues de leur statut Investment Grade méritent qu’on y regarde de plus près.

La pandémie du coronavirus suscite encore des turbulences sur le marché du pétrole, et n’épargne pas non plus la politique des dividendes de nombreuses entreprises.

Un EcoTV confiné mais nous sommes toujours avec les économistes de BNP Paribas.

Les réserves constituées en 2019 ont été épuisées au premier trimestre 2020 en raison de l’effondrement de la plupart des catégories d’actifs dans le contexte de la crise du coronavirus.