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Paris termine en hausse de 0,85%, Francfort prend 0,55%, Milan monte de 1,28% et Londres finit stable (-0,02%). A Zurich, le SMI fléchit de 0,13%.

Paris baisse de 1,32%, Milan de 1,50%, Francfort de 0,78%, tandis que Londres résiste mieux, ne lâchant que 0,10%. A Zurich, le SMI clôture sur un reflux de 0,91%.

Paris termine sans grand changement (+0,05%), Francfort recule de 0,25% et Milan de 0,28%, tandis que Londres grappille 0,17%. A Zurich, le SMI monte de 0,29%.

Le SMI marquer le pas depuis quelques semaines sur un support clé à 11 600 points, mais les perspectives restent constructives.

Vers 10h40, tout juste la moitié des valeurs vedettes évoluait dans le vert, les plus fortes hausses étant enregistrées par UBS (+4,7%), VAT Group (+3,4%) et Julius Baer (+2,4%).

Le SMI reprend de la hauteur depuis la semaine dernière après être revenu tester un support clé à environ 11'050 points.

Le SMI a enchaîné une deuxième semaine de baisse sous le poids de Nestlé, Roche Holdings et Novartis, revenant ainsi tester un support clé.

Grâce à l’envolée du négoce des titres obligataires, les volumes échangés le mois dernier ont bondi de 26,9% sur un an à 112,9 milliards de francs, alors que le nombre de transactions a décliné de 4,8%.

Le SMI consolide dans un triangle symétrique depuis le début de l’année, mais les prochaines semaines risquent d’être volatiles.

Selon l’étude de Russell Reynolds Associates, les entreprises présentent à la Bourse de Zurich misent à nouveau sur une planification à long terme, ainsi que sur la durabilité.